Dans les formes avancées de la
Dans les formes avancées de la maladie, les patients peuvent avoir des difficultés à déglutir, ce qui entraîne un risque d’aspiration (inhalation des sécrétions oropharyngées).
L’hygiène buccodentaire est souvent diminuée, ce qui a pour conséquence de favoriser les problèmes dentaires. Sclérose en plaques La sclérose en plaques (SEP) entraîne des troubles neurologiques liés à une démyélinisation auto-immune du système nerveux central. Épidémiologie
La SEP est un important facteur d’infirmité ; sa prévalence est de 1/1000 au Royaume-Uni. Elle est plus répandue dans les pays occidentaux que dans les pays tropicaux. Pathogénie
L’origine de la SEP est inconnue, mais on pense que c’est une maladie auto-immune, impliquant à la fois des facteurs environnementaux et génétiques. On a prétendu – mais il n’y a aucune preuve scientifique en faveur de cette thèse – que l’infiltration du mercure contenu dans les amalgames dentaires pouvait influencer le développement de la maladie. Tableau clinique
Un large éventail de perturbations neurologiques peuvent se manifester, mais les plus courantes sont les suivantes :
– névrite optique due à la perte de la vision ;
– lésion de la moelle spinale (myélite) entraînant faiblesse des membres ou engourdissement et picotements. Le contrôle des
82 sphincters peut lui aussi être touché ;
Sclérose en plaques 5
– lésions cérébrales entraînant des vertiges et/ou déséquilibres (ataxie). Des mouvements anormaux des yeux (nystagmus, paralysie fixe et ophtalmoplégie) sont aussi courants.
Les types de SEP sont énumérés dans l’ 6.
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Crachat
Straumann
Paris la défense
Le cabinet dentaire est à 2 pas de la place de la defense: Tour Cœur Défense, Tour Atlantique (PB11), Tour Eqho (CB50). Il est à 5 min de la Gare routière RATP : lignes 73, 141, 144, 159, 174, 178, 258, 262, 275, 276, 278, 360 et Balabus.
• SEP à progression primaire. Elle
• 6 – TYPES DE SCLÉROSE EN PLAQUES
• SEP intermittentes. Patients ayant eu une attaque suivie d’une rémission partielle ou totale. Les patients peuvent avoir plusieurs attaques par an.
• SEP à progression primaire. Elle est caractérisée par un déclin progressif de la fonction sans vraie période de rémission.
• SEP à progression secondaire. De nombreux patients ayant une SEP intermittente développent la phase à progression secondaire où l’infirmité s’accroît et où il n’y a plus de période de rémission.
Diagnostic
Le diagnostic de la SEP utilise les critères de McDonald qui reposent sur la mise en évidence de la dissémination des plaques démyélinisées à la fois dans le temps et dans l’espace. Les signes cliniques et l’IRM font partie des autres tests diagnostiques (par exemple : profil oligoclonal des immunoglobulines dans le LCR ; retard dans les potentiels évoqués visuels). Traitement
Les rechutes les plus invalidantes sont traitées par des corticoïdes oraux ou en intraveineux. Cela accélère la récupération, mais n’a sûrement pas d’effet sur la guérison. Les contractions musculaires peuvent être traitées avec du baclofène, du diazépam ou des injections de toxine botulinique. Les anticholinergiques sont d’ordinaire utilisés pour les symptômes urinaires, mais beaucoup de patients deviennent porteurs de sonde. La physiothérapie et l’ergothérapie sont des aspects importants pour maintenir les capacités chez ces patients. Les traitements médicamenteux sont indiqués dans l’ 7.
• 7 – TRAITEMENTS MÉDICAMENTEUX DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES
• Interféron ??: réduit le taux de rechute d’un tiers, mais il n’est pas certain qu’il prévienne l’infirmité
• Azathioprine et mitoxantrone : réduisent l’infirmité mais ont des effets
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